Rêves insomnie sommeil Ces morceaux de la nuit Composent la partition De l’homme et ses questions
A la bouche Tout doucement Revient le goût de la félicité Et de son amie, la simplicité
Le message fut clair Fin de la domination Recherche d’auxiliaires Là est la solution
Petit le monde mais heureux ceux qui Cherchant à vivre de façon authentique Voient dans les relations saine relaxation Les récréations de la confrontation
Bien loin de ces oiseaux plein d’aigreur Qui, élisant domicile dans nos cheveux Coupent tous ces fils qui nous lient heureux Fils et filles de la terre
L’humanité est de la responsabilité de chacun Ecoute et doute cultive l’humilité Cherche les vérités A l’inverse de ce qui se fait
Ainsi font font font Les petites marionnettes Ainsi font font font Trois p’tits tours et puis s’en vont
Du bienfaisant au néfaste En l’espace d’un instant Quand tout d’un coup bascule Et que tu me dis, voilà, c’est fini…
Dans l’intimité d’une conversation téléphonique Ou j’étais allé chercher en cette fin de journée Le réconfort dont j’avais tant besoin Après avoir si durement travaillé…
Pendant dix huit mois j’ai écouté ta voix Le sombre de ta vie tes ennuis tes tracas Cherchant à distinguer le mal de la critique Dans cette quête commune d’une vie authentique…
Dans la douceur de l’illusion de recoller à ton passé Sur cet espoir, tu as claqué la porte violemment Pour offrir notre présent aux fantômes de l’argent… L’être aux dépens de l ‘avoir, lâcheté pour seul miroir.
Je soigne mon corps et ma psyché, Digère l’injuste, la trahison, Et compte bien rebondir… Armé d’un grand sourire.
A 6’30, plus besoin de dormir, Me lève, instantané, juste envie d’un café
Tu veux ta liberté, te l’ai toujours laissée Ça te semble compliqué la simple idée d’aimer Tout ceci est un tout et a pour nom respect C’est un fait singulier dont le pronom est nous
Dans cette quête de sens, tu veux prendre les devants Quand tu sais bien qu’au fond, tu dois t’abandonner
Ce statut subalterne n’est en rien humiliant, Celui de tout élève, un simple être apprenant Car derrière cette attitude se cache l’autorité Celle qui fait sans être fruit d’un travail acharné
Tout à la fois puissante, Pacifique, exigeante Dans l’amour de soi Et des autres en mouvement
Dans ce ciel bleu azur se conjugue le présent Donnant au temps qui passe la douceur de la bise
Je n’ai pas à t’aimer n’ai rien à redouter Il n’y a rien à comprendre seulement tout apprendre Douceur, humilité, amour, éternité, maximes de l’éternel Font chaque jour alentours que la vie est si belle
D’une ambition totale ce message est très clair L’amour ne suffit pas il est une équation
Une vie authentique Aussi simple que géniale Ne demande qu’une chose : De tout laisser tomber
Et par ce geste s’ouvrir, à cette nécessité… L’ amour le seul le vrai aime la liberté
A retrouver le verbe je cultive l’acerbe Car ce qui vient au monde pour ne rien bousculer Ne mérite ni égard ni patience dixit René Char Poète contemporain qui vient me délivrer
L’existence est d’une grande démence Et devenir fou en est assurément la plus grande élégance Manipulateurs narcissiques et égoïstes N’aurez jamais ni cette candeur ni cette chance
Ai tant de bonne humeur vous hais de tout mon coeur C’est fini d’avoir peur et là est mon bonheur Vous avanciez masqués époque révolue C’est à vous de payer je veux que tout soit su
Vous cultivez l’horreur le malheur pour les autres Incapables que vous êtes d’aimer tout simplement Dans le monde actuel vous êtes les chaotiques les apocalyptiques Des pervers des tueurs en série de la terre des mers et de la vie
Assoiffés du pouvoir de votre seul bon vouloir En vous brillent les mille feux d’un enfer sur terre Arrogance et mépris vous protègent aujourd’hui Mais demain au fin fond de la nuit tout vous sera repris
Hypocrites vainqueurs l’entre soi vous protège Un jour c’sera votre cercueil ainsi que son cortège Vous vous mangerez le foie à défaut d’une vrai foi En la vie et les autres que vous ne connaissez pas
Dans votre mauvais genre l’inceste se pratique Ne dis rien à maman ta sœur est au courant Moi je préfère la sieste au beau milieu d’un champ Ou tout y est gratuit et ça c’est infini