1404 – Ainsi sois-tu

Ta vie fut, est et restera un mensonge
Quand, repensant à toi nue, parfois, j’y songe…

Notre histoire, parenthèse enchantée,
Fut celle d’un grand amour
Raison de son début autant que de sa fin…

Etranglée par la réalité, pure matérialité,
Tu auras renié les battements de ton coeur
Ton malheur en pâture
Pour ce clan des humeurs…

Mouvement contre nature

Etrange existence que cette vie inversée
Quand le faux dans sa sévérité devient la vérité
Ou l’amour, le vrai, le beau, le grand… éternel prohibé

Bêtise de ta classe finalement pas si classe
Dont je me suis lassé, protégé en fuyant à jamais
Mais qui n’a pas réussi à me faire oublier

Divine réalité

…Toi
Femme adorée
Mon amour honoré

Appétit pour la vie
Epicurienne dans l’âme
Ma Frida ma Kahlo

J’ai aimé ta liqueur
Ta substance ton odeur

L’essence de nos coeurs
Tendresse et bonne humeur

JHJ
140419

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