C’est tell ‘ment mieux de rendre heureux
A créer d’la joie, à s’engager
A faire reculer le malheur
Dans le monde et ailleurs
La joie céleste est le cœur du sage
Qui nourrit le monde
Et si le bonheur est inaccessible
Soyons heureux sans lui
L’important reste l’autre
Qui toujours nous attend
La vie nous est offerte
Y a juste à la transmettre
Pourquoi devoir choisir
Entre l’animal et l’enfant quand
Les deux en nous cohabitent…
Autant les rendre vivants
Transcendance
Connivence
Partage
Humanité
Seront le jardin de nos consciences
Lieu d’un amour grandissant
Qui, dans une transe lucide
Réconcilie en nous
L’animal et l’enfant.
13122015